Worksharing in Québec: Five Case Studies

Cette étude évalue cinq expériences récentes de partage du travail au Québec depuis 1994 : Bell Québec, Alcan, Les papiers Scott, le Ministère de l'Environnement et de la Faune, et Sico. Le taux de participation aux programmes de partage du travail offerts sur une base volontaire était élevé dans les entreprises où les sacrifices que devaient consentir les travailleurs (les pertes salariales) n'étaient pas considérables et dans celles où les travailleurs avaient déjà fait l'expérience d'un horaire de travail flexible ou réduit. Dans les cas où le partage du travail était imposé, les programmes ont remporté moins de succès. Nous déduisons des conséquences en matière de politique publique. Entre autres, pour atteindre des taux de participation plus élevés et initier les travailleurs à un horaire réduit, les gouvernements peuvent jouer un rôle positif en finançant ou en aidant à démarrer des programmes de partage du travail.
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